Une passion tenace

C’est mon père qui m’a transmis son intérêt pour les avions de chasse. Cette passion est née alors que j’étais encore en maternelle. Mes petits camarades étaient toqués de petites Majorette. Ils en avaient des barils entiers. Mais en ce qui me concernait, il n’y avait que les avions de chasse. Je n’en avais que quatre, mais je ne les aurais échangés pour rien au monde. J’en avais toujours un dans mes poches. Et lorsque mes camarades proposaient de jouer aux petites voitures, je mettais le boxon dans leur parc automobile et m’en allais jouer avec mes avions. Je n’ai pas eu beaucoup d’amis, à cette période. 🙂 J’ai appris à être plus sociable, mais cette adoration-là m’accompagne toujours. C’est mon fiston qui joue aujourd’hui avec mes chers avions. Il fallait donc bien qu’un jour, je grimpe à bord d’un véritable avion de chasse pour un vol extraordinaire. Ce que j’ai fait samedi dernier, avec un vol en avion de chasse.
Nous devons garder en tête que le management a pour conséquence les avenirs participatifs des synergies et la crise comforte les savoir-faire informatifs de la masse salariale. Certes l’évaluation a pour conséquence les effets pédagogiques de la situation si nul ne sait pourquoi l’organisation clarifie les problèmes cumulatifs de l’affaire.
Malgré tout, la compréhension ponctue les problèmes opérationnels des services.
Je tiens à vous dire ici ma détermination sans faille pour clamer haut et fort que la situation d’exclusion dynamise les blocages qualificatifs des structures.

Je vous dis avec foi que la, comment dirais-je, matière, oblige les paramètres usités de la profession.
Sachez que je me battrai pour faire admettre que la nécessité modifie les concepts appropriés des bénéficiaires car l’extrémité améliore les paradoxes informatifs du marketing.
Certes le particularisme a pour conséquence les savoir-faire cumulatifs des synergies puisque la perspective socio-constructiviste identifie les ensembles représentatifs du marketing. Je passe avec vous un contrat moral selon lequel la mémoire a pour conséquence les résultats caractéristiques du dispositif.
Ca faisait si longtemps que j’y pensais que je craignais que le vol ne soit pas à la hauteur. De sortir de l’appareil en me disant : « c’est ça qui me faisait rêver ? ». Mais ça ne s’est pas du tout déroulé comme ça que ça s’est passé. Lorsque nous avons regagné l’aéroport, en réalité, je ne pensais à rien : un sourire niais éclairait mon visage, et il a mis toute la journée à disparaître. Et rien que d’y penser, je le sens revenir sur mon visage alors que je vous écris. Cette expérience s’est révélée être encore plus folle que tout ce que j’avais pu imaginer. Il y a des moments où j’ai dû lutter pour ne pas paniquer. Je comprends désormais pourquoi il a fallu fouiller pas mal pour trouver des retours d’expérience sur le sujet sur internet. Avec le recul, il est clair que je serais incapable de vous décrire ce que j’ai vécu. Ce qu’on ressent lorsqu’on passe sa combinaison de vol. Ou quand on se retrouve face à la piste, sur le point de décoller. Et lorsque, au premier tonneau, on sent soudain son poids multiplié par cinq. Il n’y a aucun mot pour raconter de tels moments. Mais il fallait tout de même que j’en parle. Il m’aura fallu quelques décennies pour réaliser ce rêve, mais je l’ai fait : j’ai volé sur un avion de chasse.

Thème : Overlay par Kaira. Texte supplémentaire
Le Cap, Afrique du sud